Pour les demies, on hérite d'un France-Belgique qui rappelle quelques belles peignées datées eighties.
Avec l'élimination des marathoniens russes, on évite un sulfureux Diplomatico (rien à voir avec le rhum) aux goût de Novitchok, avec un Angleterre-Croatie.

Mais comment savoir pour le match opposant les bûcherons britanniques aux artistes croates ? Sur quel poulain miser ?
Depuis 1982 il y a un joueur de l'Inter de Milan et un joueur du Bayern Munich en finale de la Coupe du Monde. A ce stade il reste le munichois Tolisso (cocorico) et deux milanais côté croate. On devrait donc logiquement hériter d'un France-Croatie en finale. Enfin, parier selon les stats c'est comme lire sur les doigts. C'est la loi du prono ressenti.

La dernière ligne droite du ToTonero pourrait faire perdre les pédales au plus expérimenté des maîtres yogi. Espérons (ou pas) que Nima saura garder son calme et terminer au mieux sa chevauchée fantastique.
Derrière, Collina détient les clés du Grand Tableau. Rien à ajouter.
Kenn chose the hardest way and will play the rest of the tournament in the country of ice hockey et Samuel le rookie s'accroche au podium. Il peut devenir le premier à gagner autre chose que du vin. Une page se tourne.